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Location-gérance d’un fonds de commerce : les points essentiels
Location-gérance d’un fonds de commerce : les points essentiels
https://nf-avocats.fr/location-gerance-dun-fonds-de-commerce-les-points-essentiels/
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TOUTES LES DIMENSIONS CONVERGENT PRÉSENTEMENT
. . VOUS POUVEZ ENTENDRE CE TEXTE EN CLIQUANT SUR LE LIEN CI-DESSUS . La conjoncture des événements qui se produisent en ce moment nous confronte à nos illusions, à tout ce qui est éphémère, afin de le transcender. Toutes les dimensions, tous les plans subtils et intermédiaires ainsi que toutes les lignes de temps convergent présentement vers le Point Zéro de notre Unification. La conscience…
#C’est dorénavant l’Intelligence de la Lumière qui se charge de nous aiguiller afin de nous aider à nous affranchir de l’éphémère.#l est essentiel de prendre conscience qu’il n’y a plus rien à faire#tous les plans subtils et intermédiaires ainsi que toutes les lignes de temps convergent présentement vers le Point Zéro de notre Unificatio#Transcender tout ce qui est éphémère
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jsuis tlmt à fleur de peau en ce moment c horrible jspr ce sont mes hormones mais ça arrive au pire moment premier jour de taff, grosses douleurs aux cervicales + je dors sur le canap pcq y'a du monde chez moi et j'ai aucun moment où jpeux me retrouver seule dans mon intimité et me poser pour souffler 5 min je suis trop frustrée et épuisée et les jours précédents j'ai profité mais j'ai enchainé non stop avant de commencer le taff et pareil je me suis pas retrouvée seule plus de 5 min
#dieu seul sait à quel point les moments où je me retrouve avec moi même sont essentiels à mon bien etre#j'ai pas eu un moment pour faire mon sport aussi depuis pls jours et ca me frustre / soule trop je veux pas perdre mes progrès mais#g LEGIT pas eu un moment pour
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L'homme — son être essentiel — n'est qu'un point. C'est ce seul point que la Mort avale. Il doit donc veiller à ne pas être encerclé.
/ Henri Michaux
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REDEMY ISTANBUL - DEVASA+
La Turquie est devenue une destination populaire pour la chirurgie esthétique en raison de ses procédures de haute qualité et de ses prix abordables. Remedy Istanbul Esthetic Clinic est l'un des principaux prestataires de chirurgie esthétique en bbl turquie, proposant une gamme de procédures telles que la chirurgie mammaire, la liposuccion et le lifting brésilien des fesses bbl turquie prix. Ces procédures font partie des chirurgie esthétique turquie and chirurgie turquie, avec des prix BBL commençant à procédures populaires incluent l’augmentation mammaire, le lifting des seins avec implants et la rhinoplastie. Choisir la Turquie pour la chirurgie esthétique présente plusieurs avantages. L’un des principaux avantages est le coût, puisque les prix de la clinique esthetique turquie sont généralement 70 % moins chers que dans des pays comme la France. De plus, la Turquie possède une industrie du tourisme médical florissante, avec de nombreuses cliniques proposant des procédures de haute qualité et des installations de pointe. Remedy Istanbul Esthetic Clinic, par exemple, propose des forfaits médicaux gratuits, des transferts gratuits et des rendez-vous de suivi. De plus, la Turquie est connue pour ses chirurgiens plasticiens hautement qualifiés et expérimentés, dont beaucoup ont reçu une formation et une certification auprès d'organisations internationales réputées. Lors du choix d’une clinique de chirurgie esthétique en Turquie, plusieurs facteurs doivent être pris en compte. Il est important de rechercher la réputation et l'expérience de la clinique implant mammaire turquie, ainsi que les qualifications et l'expérience des chirurgiens effectuant les procédures. De plus, il est essentiel de s’assurer que la clinique dispose d’une accréditation appropriée et adhère aux normes internationales de sécurité et d’hygiène. La clinique esthétique Remedy Istanbul, par exemple, est accréditée par le ministère turc de la Santé et adhère aux normes internationales de sécurité et d'hygiène. En examinant attentivement ces facteurs, les individus peuvent s'assurer qu'ils bénéficieront d'une chirurgie esthétique sûre et efficace en Turquie.
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Hello ! J’ai une question un peu particulière (à laquelle tu peux répondre en privé comme en publique si tu veux)
Je m’abstiens de commenter le conflit israelo-palestinien dans mes cercles sociaux car j’estime ne pas en connaître suffisamment sur le sujet. De ce qu’on apprend au lycée, j’ai particulièrement retenu que c’était bien plus complexe que « les méchants contre les gentils ». J’arrive à un point où il me semble essentiel d’en savoir plus et de me former une vraie opinion. La manière générale dont les informations sont relayées est un peu trop subjective à mon goût. Je me demandais si tu conseillais des sources particulières pour se renseigner, qui ne sont pas aussi manichéennes que ce qu’on peut voir sur les réseaux et dans les cercles de gauche.
Je te suis depuis pas mal de temps maintenant et va savoir pourquoi, il m’a paru assez évident de me tourner vers toi pour cette question. Je me suis dit que je ne perdais rien à demander :)
Oh ça me flatte beaucoup!
Écoute déjà bien comprendre l’histoire de la région aide. Même une recherche tout simple dans une encyclopédie
- sur l’empire Ottoman et son influence dans la région
- sur ce qu’il s’est passé pendant la 1e guerre mondiale et surtout les accords Sykes-Picot
Déjà ça te donnera une bonne idée de ce qu’il s’est passé avant. Ensuite, tu peux de la même façon lire :
- Sur les prémisses du sionisme au XIXe eu Europe, pour comprendre comment ce mouvement est né et dans quel contexte.
- sur les mandats français et britanniques jusqu’à la fin de la 2e GM dans la région et en particulier la Palestine mandataire, gérée par le Royaume Uni
Ça c’est pour le contexte avant la création d’Israël.
Après tu peux lire sur les différentes guerres déclenchées par les pays voisins dès la création d’Israël : guerre des Six Jours, guerre du Kippour etc… et leurs conséquences sur la géographie actuelle du pays.
Puis sur la constitution depuis les pays voisins des mouvements type FPLP, et leurs conséquences sur la région : septembre noir en Jordanie, guerre civile du Liban, guerre Irak-Koweit etc… Et notamment la personnalité de ses leaders comme Yasser Arafat.
Pour le moyen orient de manière générale : l’expulsion des juifs du moyen orient après 1948, l’idéologie pan-arabe / parti baas, les rivalités chi’ites - sunnites et les guerres qu’elles ont provoqué, la montée du wahhabisme / islamisme dans le contexte de la guerre froide et son influence > révolution Iranienne etc
Puis à partir des années 90 : accords de Camp David, les différentes intifadas, l’histoire du Hamas, etc jusqu’à aujourd’hui.
Comme auteur français sur le sujet j’aime bien Martine Gozlan qui a aussi écrit des livres qui sont bien fait sur le sujet. Il y a une journaliste que je suis sur Twitter qui s’y connaît plutôt bien aussi c’est Laura-Maï Gravériaux. Mais tous les autres (Georges Malbrunot, et compagnie = 🚮 et j’espère qu’ils ont jeté leurs talkie walkie)
Mais déjà une bonne lecture encyclo fait du bien au cerveau, quand j’ai commencé à me renseigner là-dessus à la vingtaine je ne savais pas 5% du contexte (et pourtant j’étais très encouragée à avoir une opinion 😅).
Je me considère comme relativement bien informée maintenant mais je dois être à 60% peut-être !
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"Une caractéristique essentielle de la faculté désirante, qui témoigne que le désir de l’homme est fondamentalement unique, est qu’elle ne saurait se partager entre Dieu et la réalité sensible […] Il convient rappeler ici l’enseignement de saint Paul lui-même : "La chair a des désirs contraires à ceux de l’Esprit, et l’Esprit en a de contraires à ceux de la chair ; ils sont opposés entre eux, afin que vous ne fassiez point ce que vous voudriez (Ga 5,17)." On peut aussi appliquer à ce contexte la parole du Christ :"Nul ne peut servir deux maîtres. Car, ou il haïra l’un, et aimera l’autre ; ou il s’attachera à l’un et méprisera l’autre" (Mt 6, 24. Lc 16, 13). Ainsi, en investissant son désir dans un domaine, l’homme par ce fait même le détourne automatiquement de l’autre."
Jean-Claude Larchet, Thérapeutique des maladies spirituelles, 2000.
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Nouveau récit de mon chemin vers le Candaulisme...
Un autre souvenir et une anecdote supplémentaire pour vous expliquer mon candaulisme :
toujours sur la route de l’Espagne...
Avant même de vous narrer la suite et la fin de la soirée avec Bob et ses amies, je voudrais devancer une étape qui n’est pas directement « mon Candaulisme » mais plutôt je pense, vous pourrez me dire ce que vous en pensez, celui des autres...
Il existe aussi et quand on est comme moi sensible et amoureux de cette pratique, de cette philosophie, on peut le voir partout et il est tout aussi important de le faire vivre, de le remarquer et d’être capable de le voir...
Aussi, nous avions prévu avec Ana, après cette nuit de folie passée avec Bob et ses amies, de faire une halte sur la route de nos vacances qui devaient nous mener en destination finale à Grenade en Espagne.
Mon amie, professeure d’Espagnol voulait absolument visiter l’Alhambra et mieux cerner les impacts de la culture Arabe en Espagne ainsi que connaître la culture Andalouse.
Moi, je suivais..., intéressé et curieux d’à peu près tout...et surtout si amoureux d’elle et de tout ce qu’elle me permettait de découvrir, avec elle, sur moi, sur les autres, sur le monde, sur le sexe...
Bref autant de choses que dans un couple « classique » il n’est peut-être pas possible d’appréhender tout autant... ?
Depuis notre Normandie natale, le chemin était long et les étapes nécessaires.
Ainsi, Toulouse, Perpignan, maintenant Tarragone, Madrid et enfin Grenade...
Cinq étapes, 1700 kilomètres environ, me semblaient tout à fait correct surtout que nous étions en vacances...
Aussi, après Perpignan, ce fut Tarragone.
Ana avait aussi choisi cet endroit car en bord de mer, nous aimions la mer elle comme moi, et avait-elle lu beaucoup d'articles intéressants concernant Tarragone. De nombreux vestiges Romains à voir, une culture de la fête (et même un Musée de la Fête) dont notamment la réalisation festive de ces pyramides humaines, plutôt des châteaux humains (tradition commune aussi avec l’Italie et essentiellement Catalane) nommé « Castelles ».
Elle voulait voir ce spectacle en réel et pourquoi pas tenter d’y participer... ?
La route fut tranquille et agréable même si la chaleur présente de ce milieu d’été nous rendait assez nonchalants l’un et l’autre et que les effets de la soirée de la veille dans cette cahute de la SNSM avec Bob et ses amies se faisaient manifestement sentir.
Ana, comme très souvent et presque toujours, surtout dès qu’il faisait plus de trente degrés, était vêtue d’une très légère et courte robe d’été qui lui allait à merveille et lui rendait moins pénible le voyage...
Nue en dessous ou plutôt sans dessous bien évidemment !
C’était notre code commun de l’été...Et , elle comme moi y veillions!!
Pieds nus et cheveux défaits, elle était superbe.
Souvent aussi, elle posait ses pieds sur le tableau de bord et je ne manquais pas d’admirer ces jambes oblongues et parfaites...
Quelques fois le tissu glissait aux confins de ses cuisses et c’était réellement un bonheur et un spectacle que de la voir ainsi...
La vitesse étant limitée à 120 kilomètres heures sur les autoroutes d’Espagne, je conduisais sans aucun stress tout en m’amusant du fait que lorsqu’Ana se positionnait comme cela et parfois même s’endormait, les camionneurs que je doublais, perchés dans leurs cabines, manquaient rarement de klaxonner, ravis de la vue que la situation pouvait leur offrir un instant en passant...
Cela réveillait immanquablement Ana, qui parfois râlait d’avoir été réveillée mais aussi me l’avoua-t-elle, parce qu’elle n’avait pas pu elle aussi profiter et jouer de l’instant et de ses incroyables et érotiques attraits.
Elle aimait réellement être le centre de l’attention et son côté exhibitionniste avéré et assumé la titillait souvent et ne me déplaisait nullement pour notre plus grand bonheur et notre complicité.
De la pointe de ses pieds au sommet de sa chevelure brune c’était une bombe sexuelle...
Un bouquet d’amour...
Une convocation perpétuelle aux agapes sensuelles et sexuelles...
Chaque parcelle de sa peau était une publicité érotique et une invitation aux pensées lubriques...Je n'avais jamais rencontré d'amis qui ne me l'ai avoué ou plus ou moins fait savoir: "Waaoooua , ta copine...!"
Pour les autres, leurs yeux et leurs comportements suffisaient à eux seuls...
À eux seuls, ses seins galbés et libres dans cette robe légère étaient une invitation à toutes les pensées diaboliques...
Alors, vous pensez, ses jambes bronzées et dénudées, sa chatte lisse juste surmontée d’un triangle soigneusement entretenu, sans parler de son cul rebondi à souhait qu’elle dévoilait parfois dans ces moments-là à ces camionneurs, stakhanovistes du bitume rarement bien considérés et rétribués, étaient un pur instant suspendu, un incroyable « butin », une chance impensable, un vrai ticket de loterie au regard des milliers d’autres personnes, femmes et hommes, que pouvaient croiser ces galériens de la route au quotidien si routinier et très certainement rengaine ...
Souvent quand je les doublais, elle faisait semblant de se pencher pour rechercher quelque chose sur la banquette arrière, assurant un flottement savant et pensé de sa robe jouant avec l’air des vitres ouvertes sur et dans sa raie marquée de son entre-fesses...
Cela n’en laissait, croyez-moi aucun indifférent!
Moi le premier... ! J'adorais tellement bander...Comme tout homme me direz-vous mais peut être encore plus depuis que je me savais Candauliste.
L’adresse de ses mains (parfois elle invitait également la mienne) titillant son écrin d’amour était réellement à voir et à admirer...
Bref , oui, elle savait jouer de ses charmes et de ses envies pour rendre fous les hommes (parfois les femmes...On venait réellement de le constater avec Clara et Laura , les amies de Bob le soir d’avant...Je vous raconterai...).
-« Le prochain routier qu’on dépasse, tu me dis et tu me réveille avant...Je vais le faire bander crois-moi...Il va payer pour les autres qui m’ont réveillée...Je vais le rendre fou...Tu resteras à sa hauteur, tant pis si ça râle derrière, et je lui ferais un striptease et le coup de la femme exhib...T’inquiète...Tu te régaleras aussi mon chéri... ! »
Je ne pouvais en douter un instant d’autant qu’on avait déjà joué à ce jeu un jour en Bretagne et que le conducteur du camion avait réellement faillit avoir un accident tant il ne faisait plus assez attention à la route, ce con !
-« Ok, promis , Bébé...! Promis dis-je en riant... »
Quelques hectomètres suffirent et j’avoue qu’elle sut y faire...
Le routier n’arrêta pas, une fois qu’on l’eut dépassé, lentement dépassé sur plusieurs kilomètres, de klaxonner, de faire des appels de phares, de mettre son clignotant pour nous indiquer qu’il voulait s’arrêter...
Mes doigts enserrés dans son con bien ouvert, humides et si délicieusement chaud, je ne pouvais de toutes manières pas m’arrêter...
Ce n’était d’ailleurs pas notre volonté ni celle d’Ana qui s’était doucement et tendrement repliée sur mes doigts encore enfouis en elle...J’étais au Anges...Elle se rendormit...
Il nous restait une centaine de kilomètres avant d’arriver à Tarragone...
Nous avions réservé un airbnb en centre-ville, il y avait un parking à proximité et c’est juste à côté de la Cathédrale, sur la place où avait lieu généralement les fêtes.
Notre hôtesse était une femme d’une soixantaine d’années magnifiquement conservée (elle devait réellement avoir été belle dans sa prime jeunesse).
Elle nous aida à nous installer, nous fit l’article des plus belles choses à voir, nous conseilla quelques restaurant situés juste à côté et d’aller regarder le spectacle de la lune sur les flots ou sur le port situé juste au bout des ramblas... :
- « Ce soir c’est pleine lune, la lune bleue, nous indiqua-t-elle dans un français quasi parfait...Elle avait été par le passé pendant quelques années conseillère économique au sein de l’Ambassade d’Espagne à Paris, ville qui me manque parfois, nous avoua-t-elle... ».
Elle avait hérité et investit dans sa ville natale de Tarragone et était revenue y vivre avec son mari la retraite arrivée depuis trois ans maintenant.
Son mari était un ancien agriculteur des environs, vivait encore à la campagne voisine le jour et venait la rejoindre chaque soir au coucher.
Elle était réellement charmante et nous indiqua de ne pas hésiter à l’appeler si on avait un quelconque besoin.
« Même dans la nuit..., ici on ne se couche pas très tôt, on aime la fête et les gens...Dommage, la fête des Castells n’a lieu qu’en octobre cette année, il faudra revenir...et il n’y a pas de répétition sur la place...La nuit sera tranquille...Vous pourrez vraiment vous reposer si vous partez demain pour Madrid. Bonne nuit ! »
Nous étions installés dans un appartement situé au deuxième étage d’un vieil immeuble du début du siècle avec une avancée sur colonne constituant en dessous un passage sous voute.
L’appartement avait été refait à neuf à l’arrivée de Consuella, c’était son prénom, et était parfait.
En face du large espace constituant la place de la Cathédrale, un petit immeuble de même taille que le notre mais de style différent semblait inoccupé ou du moins très tranquille et sans vis à vis...
Ce serait parfait, il faisait encore chaud en cette longue soirée d’été et l’air de la mer voisine pourrait sans nul doute nous apporter un peu de fraîcheur dans la nuit. Nous pourrions sans problème dormir les fenêtres ouvertes...
Ana se précipita sous la douche en rigolant, me jetant un « Prem’s » hilare...
Elle était déjà entièrement nue.
Sa vitesse à se dénuder et à être aussi à l’aise m’avaient toujours sidéré...Il faut dire qu’elle était tellement belle et naturelle. Son éducation, contrairement à la mienne y avait sûrement beaucoup participé : ses parents professeurs étaient depuis toujours naturistes convaincus et passaient leurs étés sur les plages et les camps naturistes d’alors...J’appris par eux qu’il y avait même des campings et autres installations naturistes certifiées au-dessus géographique de Montauban..., ce qui pour moi était une impossibilité physiologique tant je craignais le froid... !
Pour autant Ana et ses frères avaient été bercés par ce mode de vie et ce rapport au corps qui je l’avoue m’avait interpellé puis plutôt convaincu...
Il n’en reste pas moins que Montauban fut et est toujours pour moi, même en nos nouvelles périodes de réchauffement climatique, une limite géographique , du coup peut-être psychologique, infranchissable.
Je rangeais nos affaires et ouvrais la fenêtre de l’appartement.
J’avais également envie et besoin d’un bonne douche et je rejoignis rapidement Ana...
Quelques baisers humides plus tard, elle sortit et m’attendit assisse engoncée dans une grande serviette moelleuse sur le rebord de la fenêtre.
Elle me proposa de nous habiller rapidement et de descendre manger dans un des restaurants indiqués par Consuella :
« Une bonne nuit de repos ne nous fera pas de mal mon amour me dit-elle, j’ai envie d’être cool ce soir...Pas toi ? «
Ce qui en langage de Ana signifiait, on mange on se couche tôt, on se câline et on se repose...
Le programme m’allait bien, même si de la voir se préparer et s’habiller devant moi et me demander quelle robe lui allait le mieux après en avoir essayé quatre ou cinq, sans compter quelles chaussures, un bracelet de cheville ou pas, ... entrainait toujours pour moi et en moi un sentiment Candauliste émergent et irrépressible...
Je me serais bien jeté sur elle pour lui faire l’amour, là, maintenant, mais elle m’échappait déjà en se tournant et regagnant la salle de bain.
Elle opta pour une robe courte, droite et fendue sur le côté, style « Romaine » qui lui allait magnifiquement et ajouta ce coup-ci sans me demander, un bracelet manchette du plus bel effet sur sa beau bronzée et son bras si parfaitement dessiné.
Je pensais en l’admirant qu’elle aurait été parfaite pour une soirée Romaine et mon esprit plus que coquin se projeta même jusqu’à l’orgie...
Était-ce le passé de Tarragone, ancienne ville Romaine d’importance qui me jouait des tours ou était-ce seulement ma lubricité entretenue par notre après-midi routier et la chaleur de ce début de soirée qui emportait mon imagination ?
La conscience ou l’inconscience d’Ana de par ses jeux aussi imprévus que constants et mes propres tourments érotiques incessants devant son irradiante et sensuelle beauté me poussaient dans les retranchements du Candaulisme, je m’en apercevais de plus en plus : je l’admirais, j’étais fou d’elle, je voulais la partager, l’offrir, la montrer aux autres, à toutes et à tous combien elle était belle, désirée et désirable, ardente...
Secrètement et subitement je l’imaginais ici, jadis, Déesse ou Princesse dans son palais, offrant sa magnificence, sa présence et jusqu’à son corps à ses plus beaux serviteurs, soldats ou esclaves musclés et vainqueurs, choisis par elle et son Maître (moi ?) comme juste et inespérée récompense des exploits réalisés dans les Arènes, au quotidien à son service ou sur les champs héroïques des batailles...Peut-être même Candaule lui-même m'inspirait-il du lointain de son huitième siècle avant J-C...
Le tout serait de ne pas en mourir!
C’était aussi ma vision du Candaulisme et un bonheur que je ressentais que de la voir se préparer et s’habiller pour aller en soirée...
Plus tard, j’en fis même avec elle un rituel incontournable de nos pratiques Candaulistes, surtout et encore plus quand la soirée ou son rendez-vous devaient se tenir hors de ma présence...
J’avoue que ce sont des instants magiques permettant tellement la plongée vers l’imaginaire constituant la jouissance des protagonistes, en tout cas des Candaulistes avérés.
S’imaginer les émotions suscitées et ressenties par son élégance, sa beauté, sa prestance, ses vêtements, ses parfums, ses bijoux, ses onguents, sa lingerie... mais aussi l’instant où elle apparaîtrait aux yeux incrédules de son ou ses amants, se ferait désirer , admirer, défaire de ses parures choisies ou d’en être défaite par un ou des amants attentifs et rendus fous de désirs... ;
son retour près de moi, avec le pouvoir de me faire languir de ses récits et de son corps ;
me jeter aux yeux, aux mains, à l’esprit, la ou les différences, les effets sur sa libido, sur sa magnificence, sur son charisme, entre son départ et son retour au plus près de moi...;
être attentif aux « griffures », parfois aux "déchirures" sur ses habits ou en son âme de sa soirée.. ;
le bonheur de la voir belle et parfaite ; le plaisir de la voir revenir heureuse épanouie, comblée, confidente et partageuse dans l’attente et l’impatience de pouvoir tout aussi rapidement repartir... ;
être fier et si amoureux d’elle et de ce qu’elle m’ offre, a offert ou va offrir aux autres;
avoir ce délicieux pincement inarrêtable et si puissant dans le ventre en la voyant partir, exacerbé si puissamment tout au long de son absence avec cette impatience de la délivrance, cette inquiétude et cette douceur envahissant le corps et l’esprit quand elle vous revient...
Et pour elle la certitude d’être, si ce n’est la plus belle, la certitude de se sentir Reine et conquérante du monde...
Oui, tout cela me traversa en quelques secondes l’esprit et serait, maintenant je le savais depuis l’avoir rencontrée et parcouru ce chemin de quelques mois ensemble, à jamais en moi...
Le dîner en ville fut rapide et léger et visiblement Ana était impatiente de regagner notre gîte.
Je ne lui en tenais pas grief même si tout était propice en cette soirée à Tarragone à l’abandon sensuel des corps et des esprits, j'en étais à la fois convaincu et un peu "déçu"... Je le ressentais au plus profond de moi, comme si une « vie antérieur » me gagnait et énivrait mon esprit de souvenirs indéfinissables...
Etranges mais agréables instants même si j’aurais aimé en profiter plus longuement.
J’étais également fatigué et, rires, Ana savait toujours être convaincante...
Sa main dans la mienne quasi en permanence, ses baisers aussi soudains que fréquents, sa tendresse et ses sourires me faisaient toujours craquer ! Ils furent nombreux ce soir-là à me faire craquer...!
C’est néanmoins à la nuit que nous fûmes de retour à l’appartement de Consuela.
C’était un soir de pleine lune comme nous l'avait dit Consuela et même de lune exceptionnelle. L'éclairage de la cathédrale et des bâtiments l’entourant était magique...C’était réellement d’une beauté irréelle...Ce phénomène était appelé « lune bleue » et c’était magnifique.
Nous restâmes ainsi quelques instants à nous câliner avec Ana admirant ce phénomène et ses effets...
Ana était réellement fatiguée, m’embrassa longuement et langoureusement et parti se coucher dans le lit situé face à la fenêtre.
Je restais un peu, fasciné par le spectacle et les beautés de l’instant...
J’étais nu, nous nous étions déshabillés instinctivement comme nous aimions le faire aussi chez nous dès en rentrant.
Je pensais prendre une nouvelle douche et je croyais qu’Ana en ferait de même avant d’aller s’étendre de sa lascive beauté sur le grand lit de l’appartement loué pour la nuit.
Elle était réellement ivre de fatigue et s’était étendue en n’ayant pas la force d’aller jusqu’à la salle de bain pour me semblait-il, s’endormir rapidement...
Néanmoins, qu’elle ne fut pas ma surprise d’entendre sa douce voix quelques instants plus tard m’enjoignant à ne plus bouger d’où j’étais...
J’étais toujours devant la fenêtre, d’abord assis puis debout et légèrement de côté...
-« Waaaouaaou...Tu es trop beau chéri...Ne bouges plus , m’intima-t-elle...La lune derrière toi et en face de moi te dessines comme une ombre chinoise et rends ton corps incroyable...Hummm , j’aime tellement...Je peux voir les contours de ton corps et aussi ton sexe qui en devient incroyablement attirant...Tu sais que j’aime ton sexe chéri...Tu ne l’as jamais fait devant moi mais je pourrais te demander de te masturber...j’en ai souvent rêvé tu sais...mais trop souvent impatiente de te prendre en main et en bouche je n’en ai jamais eu l’occasion je crois...Non ?
Je l’ai fait avec quelques-uns de mes premiers amours de jeunesse, mais pas avec toi chéri...Tu pourrais le faire ? J’aimais trop les voir se toucher eux-mêmes et surtout quand ils partaient...Ce n’est pas toujours beau un homme qui se branle, rarement même, mais voir leur sexe quand il délivre sa puissance au travers sa jouissance est quelque chose d’assez unique...J’aime le ressentir dans ma main ou au fond de la gorge, mais j’aime aussi le voir...et là , toi, en ombre chinoise ...hummmm je me caresse en même temps si tu veux savoir...et tu m’excites tellement ! Chéri...S’il te plait...Fais-moi plaisir... »
Demandé comme ça, mes idées lubriques encore et toujours présentes, la situation particulière, ma libido, l’envie de faire plaisir à Ana...
Pourquoi lui refuser même si je préférais de loin le plaisir partagé au plaisir solitaire
Pour autant, le plaisir serait sans nul doute partagé ; même de loin et je connaissais les effets de sa propre masturbation dont elle m’avait, elle, offert maintes fois le si délicieux et sensuel spectacle ; chez Ana...
Ca la rendait généralement assez folle, humide et ouverte à bien d’autres aventures...
Aussi, commençais-je à me caresser...
Mon pieu se tendait rapidement comme assez souvent et j’abusais même en m’imprimant consciemment un rythme lent et appuyé...
Ma main restait ainsi assez longuement en bas de ma verge tendue à l’extrême accentuant généreusement sa dimension et son corps arqué...
Oui je bandais fort, très fort même de me "livrer" ainsi...!
C'est quelque part ce que je demandais à Ana , en tant que Candauliste, de s'offrir, de se livrer...Aussi le retour et le partage ne me semblaient anormal, loin de là...!
Ana visiblement m’accompagnait, je l’entendais au rythme de son souffle et ses commentaires m’encourageais réellement à lui donner un maximum bien qu’indirect plaisir....
Nous allions jouir ainsi...
Il en était certain... !
L’inarrêtable et inévitable arriva et nous partagions nos jouissances, tant cérébrales que physiques ...
Ce fut réellement agréable...
Je décidais d’aller enfin prendre ma douche.
Ana m’arrêta au passage pour me remercier tout en saisissant mon sexe encore durci par l’intensité de l’instant.
Je lui offris les derniers abandons de mes liqueurs...
C’était ça aussi le Candaulisme que ce partage, même à distance, du plaisir des demandes et des émotions...
Elle en imprégna délicatement ses doigts en m’assurant d’un : « Merci mon amour...Tu étais vraiment superbe...j’ai trop aimé...il faudra qu’on recommence un jour » ..., et portant ceux-ci à sa bouche pour en goûter toute la saveur qu’elle appréciait particulièrement puis me prit bouche, de sa bouche gourmande, chaude et sensuelle, venant ainsi me gratifier d’une incroyable et savante remise en condition...
Je durcis instantanément de nouveau... !
Oubliant la douche, je me jetais sur elle et en cuillère la pénétrais tout à la fois virilement et tendrement, m’installant au plus profond de son si douillet et accueillant cocon d’amour...
Nous nous endormîmes pleinement heureux et amoureux jusqu’au petit matin...
Elle fût la première à s’éveiller et se lova tendrement dans mes bras...
- « Mon chéri...Il ne nous faut pas trop traîner tu sais ce matin...On doit régler la dame pour la nuit. Je lui ai dis vers 10 heures. Et nous avons encore pas mal de route pour aller à Madrid. »
J’étais si bien et j’émergeais si doucement de mes rêves et des douces caresses d’Ana...
« Ok... Prems à la douche !" me « vengeant ainsi de notre arrivée hier soir...
Ajoutant tout aussitôt que comme ça j’aurais le temps de descendre acheter quelques « dulces » pour accompagner notre petit déjeuner...
« Ok, fit-elle, c’est toujours toi qui diriges tout de toute façon, osa-t-elle me dire tout en riant aux éclats... »
A cet instant précis, je suis sûr qu’elle devait se remémorer la fin de soirée d’hier cette « chienne » que j’aimais à la folie...
Le petit déjeuner avalé, le ménage refait, las draps ôtés et mis en boule sur le palier, c’est tout ce que Consuela nous avait demandé, nous descendîmes la voir pour la régler de la nuit passée en son bel appartement.
Son immeuble était situé juste en face de celui où nous avions passé la nuit. La Cathédrale était toujours aussi belle et majestueuse et il faisait déjà chaud...
Ana s’était paré d’une combi short en Jeans et à bretelle du plus bel effet...
J’adorais apercevoir, voir les courbes de ses seins si peu retenus, parfois même sortant, par ces bretelles larges mais capricieuses.
Comme elle ne portait pas de sous-vêtements, c’était adorable et vraiment sexy...
Surtout quant à l’aulne de la sortie d’un de ses seins de cet écrin, elle le remettait alors innocemment en place tout en le « grondant » affectueusement ...
C’était si incroyablement et redoutablement sexy et sexe pour ceux qui pouvaient en être témoins...
Rires, cela arrivait souvent !
Ana frappait à la porte...
Consuela apparut élégamment, belle et digne comme elle nous était apparue la veille en nous accueillant.
« Oh...mes amours...vous êtes déjà levés... ! Pas trop fatigués ? Pour moi aussi la nuit a été courte mais je n’ai pas la route comme vous à faire nous dit-elle. Tout s’est bien passé ? Merci beaucoup et infiniment ! »
Ana lui indiqua qu’on avait suivi ses consignes à la lettre et lui tendit l’argent qu’on lui devait.
-« Non, non...C’est gratuit, pas besoin, repoussant doucement la main d’Ana qui lui tendait l’argent dû »
-« Non fit Ana...Comment ça, on ne vous a pas payée en arrivant hier soir...On vous les doit... ! »
-« Non lui répondit Consuela, je vous offre la nuit, c’est gratuit pour vous... »
Ce faisant, en repoussant le bras d’Ana, elle fit involontairement sortir un sein de dessous la bretelle du combi short de ma compagne ...
-« Oh, pardon, je suis navrée...Quoique, vous êtes si beaux tous les deux...L’appartement est gratuit pour vous...Vous m’avez, vous nous avez tellement donné hier soir, mon mari vous embrasse et insiste pour ne pas vous faire payer la nuit...Oui, vous ne pouvez pas comprendre...Vous nous avez donné tellement sans réellement le savoir que le prix d’une nuit dans un appartement...Tellement plus, insista-t-elle ! »
-« Comment ça dit Ana ? Je ne comprends pas...On ne vous a rien donné...On ne vous a pas vus...Hein Chéri, qu’est-ce qu’on a donné à Consuela...dit-elle tout en saisissant délicatement son sein et en le replaçant.
-« Ca ? ça justement...Oui, ça, enfin pas tout à fait ça mais quelque chose de tout aussi beau et peut-être même plus encore que vous ne pouvez l’imaginer... »
J’avoue que le rouge commença à pourprer mon visage et que je commençais à comprendre
-« Euh...Dis-je...Vous pensez ce à quoi je pense.... ? » ayant compris avec retard ce qui avait pu se passer...Oh, pardon...Désolé si on vous a choqué... »
-« Choquée?...Consuela partit dans un rire très sonore qui enjoua Ana bien qu’elle ne comprenait pas la situation ...Non, vraiment pas choquée, ni mon mari d’ailleurs...Cela nous a rappelé bien des souvenirs...Je vous ai dit que j’étais restée en poste longtemps à Paris et que la vie y était réellement fascinante et , comment dire, plus légère à l’époque qu’ici en Espagne... Nous adorions aller avec mon mari au Moulin Rouge, au Crazy Horse, au Lido et fit-elle en baissant la voix et regardant tout autour d’elle, nous adorions fréquenter les clubs libertins qui commençaient à ouvrir à Pigalle d’abord puis un peu partout et même en banlieue... Oui, nous avons eu une riche, très riche vie sexuelle avec José mon mari et depuis notre retour ici, on en avait presque oublié toute la saveur...
Elle agitait si délicieusement et adroitement son éventail pour ne pas elle aussi rougir que cela en était touchant...
Votre spectacle à vous, très cher « Daniel ? » était de toute beauté...Merci, mille merci. Surtout que mon mari s’inquiétant que je ne sois pas couchée alors que j’admirais ce que vous offriez à mes yeux et à la place de la Cathédrale est venu me rejoindre sur le balcon d’où je vous voyais admirablement bien avec toute l’intensité de cette lune bleue, vous et votre engin dressé à merveille. Brutalement, il m’a sauvagement honorée pendant toute la durée de votre show...Ce fut délicieux...Je m’étais caressée avant seule, comme je l’imagine votre dame a dû le faire en vous regardant j'en suis sûre et j’étais prête à tous les assauts et à toutes les folies...Il y a bien longtemps que nous n’avions ainsi joui tous les deux ensembles. Confidence, je vous ai même mentalement sucé et dégusté pendant que mon mari me labourait. Oui, merci, mille merci...Aussi, non vous ne nous devez rien... Croyez-moi... On aurait payé des fortunes pour s’offrir la vue d’un tel spectacle à Paris et José ne pensait même plus pouvoir me faire l’amour sans cette pilule couleur de lune qu’on nomme le viagra... Là en quelques instants il a bandé comme à ses quarante ans et m’a défoncée contre la rambarde qui en gémissait même bien plus que moi...Oh, Dieu (elle tourna ses yeux vers la Cathédrale...) Dieu que c’était beau et bon... ! Merci...
Allez, partez maintenant, vous avez de la route »
Ana venait de comprendre tandis que Consuela déposait un doux et tendre baiser sur son front et en prenant, la coquine, à pleine mains les magnifiques seins de ma compagne pour les masser délicatement et en faire rugir la pointe...
-« Tu as tellement de charme...J’étais bisexuelle et j’ai eu une aventure torride avec une danseuse du Crazy pendant de longue années...Il y a si longtemps et c'était si bon...José nous accompagnait et regardait ... Il aimait le bougre...J’aimerais avoir vingt ans aujourd’hui, je serais parie avec toi, avec vous en disant à José que j’allais revenir et que je lui raconterai tout comme à l’époque...Je partais deux ou trois jours, deux ou trois nuits surtout et revenais toujours vers José qui était comblé...Je vois qu’a quelques années de différences vous vivez les mêmes délire et la même philosophie de la vie...Soyez heureux mes amours...Soyez heureux...Nous l’avons été et aujourd’hui, cette nuit, vous nous avez fait revivre l’espace d’un si délicieux instant tout ce bonheur...Mille merci ! Longue et belle vie à vous » ;
Nous nous mîmes en route assez incrédules mais tellement satisfaits, fiers et incrédules.
Ça aussi c’était du pur Candaulisme et quand je repense à ces instants j’en comprends encore mieux l’intensité du partage.
Même et surtout sans contact, sans parler, défiant même le temps , de Candaule en passant par Consuela et José jusqu'à nous...
Sans presque nous voir, nous connaitre, nous avions su partager notre amour et nos pratiques pour aller jusqu’à les faire renaître chez un couple qui nous avait lui aussi indirectement ouvert les chemins vers les plaisirs et l’amour tendre, gratuit et sincère du partage...
Dieu que c’était beau ! J'en ai encore aujourd'hui des frissons et des pensées émues...
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Les êtres - peuple de l'eau
HÉRÉDITÉ ‧₊˚ De nature héréditaire, le gène spécifique aux êtres de l’eau est transmis à la descendance, mais peut demeurer inactif. Ainsi, un·e sorcier·e issu·e d’un triton et/ou d’une sirène n’est pas forcément voué·e à l’être à la naissance. Iel demeurera alors similaire en tout point aux sorcier·e·s lambda et n’aura pas de réelle appartenance avec ce peuple, élevé·e à la surface par sa·on parent sorcier. En revanche, si le gène est actif et l’enfant naît sirène ou triton, iel dépendra du royaume sous-marin où iel sera élevé·e par son parent sirène/triton.
CARACTÉRISTIQUES ‧₊˚ Êtres de l’eau évoluant en son sein, iels possèdent — et ce, dès la naissance, une queue de poisson aux écailles duochromes, des branchies et doigts palmés leur permettant de se mouvoir. Il est vital pour elleux d’être placé·e·s dans l’eau une fois extraits du ventre maternel, sous peine de ne pas pouvoir respirer, ne maîtrisant pas encore leur transformation humaine.
Avec l’apprentissage vient la capacité de muer la queue en une paire de jambes, rétracter ses branchies et palmes, afin d’évoluer sur la terre ferme. Le moindre contact avec la substance aqueuse les ramène toutefois à leur forme d’origine s’iels ne possèdent pas l'entraînement adéquat. Pour pallier à cela, une potion a été créée, les maintenant sous leur forme humaine pour une durée limitée. Les contreparties sont cependant lourdes et les prises doivent être rapprochées pour que l’effet persiste, les saignements de nez récurrents se muant par la suite en aiguilles sous la plante des pieds puis en faiblesse généralisée, les jambes lâchant sans plus réussir à supporter le poids du corps.
L’appel de la mer reste dans tous les cas dévorant, qu’importe que l’individu soit en communion ou non avec ses racines et son identité. Il lui faudra s’immerger s’iel ne veut pas dégrader sa santé, risquant le cas échéant d’éprouver des malaises, étourdissements, maux de tête, ainsi qu’une faiblesse généralisée et persistante, et par la suite, développer diverses carences. Iel entrera alors en phase de déshydratation avancée, la sensation de soif inassouvie le·a drainant et le·a rongeant, forcé·e de boire environ 3L d’eau par jour afin de compenser le manque d’eau.
Leur voix est une arme dont la mélodie chantante est fortement persuasive, aptes à manipuler autrui sans qu’iels n’en aient conscience. D'un simple "j'ai entendu dire que…", tournure essentielle à l'enclenchement du don, la personne est sous influence. Le secret se transmet de sirène en sirène — rendant celui-ci inefficace sur elles, ces dernières se gardant bien de partager la clé aux sorcier·e·s qui ne se souviennent pas de ce qu'iels ont pu entendre. Attention toutefois à ne pas dépasser les limites, l’équilibre restant subtil entre persuasion et contrainte, sous peine de risquer de déclencher un mécanisme de défense.
RELATIONS AVEC LA COMMUNAUTÉ MAGIQUE ‧₊˚ peuple pratiquement autonome grâce au commerce de ressources sous-marines — comprenant ingrédients de potions, baguettes et trésors engloutis, l’entente avec les sorcier·e·s est cordiale. Leurs enfants sirènes/tritons sont scolarisés parmi eux, mais restent voués à retourner vivre dans leur cité engloutie, l’inverse étant très mal considéré.
#RPForum#forum rpg#rpg ressources#Megaverse#Fantasyrp#fantasy#Magic#Roleplay#MagicalCreatures#Sorcery#Fae#Wizards#ParallelWorlds#FantasyWorld#rpg forumactif#hp rp
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(projet rpg) LADDER OF CHAOS
chevaux de l'apocalypse -- churchlin, 2021 -- cont. sombre & mature
— un point sur le contexte
[ CHURCHLIN, USA 2021 ] → Les Chevaux de l'Apocalypse, issu du récit biblique, ont engendré sur Terre des émissaires, les Foals, qui agissent pour engendrer l'Apocalypse. → Les Foals ont récemment été découvert.e.s par la population mortelle, amenant de nombreux questionnements, et surtout, une période d'instabilité au sein de la population. → La population des Foals est régie par plusieurs groupes d'individu.e.s, qui structurent leur existence. → L'intrigue tournera essentiellement autour des dynamiques entre Foals & Humain.e.s, mais aussi celles entre les organisations. Personne n'est à l'abri.
— un point sur les possibilités
→ possibilité de jouer Foals & Humain.e.s, les Foals possédant des dons particuliers ainsi qu'Horsoul, forme de reflet. → organisations avec de multiples possibilités, toutes possèdent une partie plus sombre pour expérimenter la dualité de chacun.e. → différents types de comptes : permanents, éphémères et semi-permanents, pour s'adapter à tous les rythmes des joueur.se.s !
— un point sur le projet
→ le projet est disponible sur le forum, où vous aurez accès à diverses parties strictes. il vous est possible de vous inscrire pour apporter votre pierre à l'édifice, créer votre personnage, chercher des liens, etc. → l'équipe administrative a besoin de deux personnes en plus, des infos sont disponibles en interne ! → le serveur discord a ouvert ses portes, n'hésitez pas à nous rejoindre, cela n'implique rien et vous pourrez bénéficier d'avantages et de contenu supplémentaire.
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"La toute nécessité de l'espece humaine était qu'il y ait un Autre de l'Autre. C'est celui la qu'on appelle généralement Dieu, mais dont l'analyse dévoile que c'est tout simplement LA femme."
"LA femme n’existe pas.
Il y a des femmes, mais LA femme, c’est un rêve de l’homme."
Jacques Lacan
Dans l’enseignement lacanien, est appelé "canaille" celui qui ne veut jouer le jeu d'aucun discours, les salauds étant, eux, salopés par le discours qu'ils servent.
Que la canaille ne joue le jeu d’aucun discours, cela s’appelait autrefois: "vouloir bouffer à tous les râteliers".
La canaille se retrouve bête de vouloir dérober la jouissance sans jouer le jeu du discours dont elle s’ordonne (les canailles deviennent bêtes après qu’elles ont raté leur analyse, ce qui est tout de même un progrès, note Lacan...)
Du point de vue strictement logique, il est impossible de se dire "lacanien" ...et faire la promotion de la Gender Theory, son féminisme me-toomaniaque, son déni de la différence sexuelle... qui ne sont rien d’autre que des émanations du discours dominant, à savoir le Discours Capitaliste qui se soutient du Discours Universitaire, son projet d’effacer la différence entre hommes (masculin et féminin) et machines...
Dans "LA femme n'existe pas", il ne faut pas interpréter "exister" comme un synonyme de "être", il s’agit d’entendre cette proposition au sens de la logique (hegelienne) où "l'existence" ne fait pas couple avec "l'essence" (qui est corrélative de "l'apparence") mais avec "le fondement" (der Grund): l'existence se définissant du point de vue dialectique, comme l'effet, l'apparition d'un fondement, d'une raison, d'un principe essentiel et unique: l’existence est "l'être apparaissant en tant qu'il est posé et saisi comme l'effet d'un fondement".
C'est précisément en ce sens que "LA femme n'existe pas", elle n'a pas de fondement unique, elle n'est pas totalisable dans le cadre d'un principe unique dont elle serait l'expression.
Si "LA femme n'existe pas" c'est bien parce que "homme" est le nom de la femme qui prétend exister.
Le passage à l'universalité du genre humain introduit non seulement la différence sexuelle, mais aussi la différence entre les deux espèces, "homme" représentant le moment de la scission de la collection féminine non-différenciée, tout en incarnant, face à son opposé féminin particulier, le moment de l'universalité.
L'universel fonctionnant toujours comme une exception, selon un fonctionnement auto-référentiel où le GENRE universel se rencontre toujours lui-même parmi ses ESPÈCES.
En pure logique, la différence spécifique ne fonctionne plus — depuis la démonstration de Hegel— comme la différence entre les éléments sur l'arrière-fond neutre-universel de l'ensemble, qui est imaginaire, mais devenant la différence même entre l'ensemble universel et son élément particulier…
C'est de la force motrice de la dialectique hegelienne — que Lacan tire la logique du "pas-tout".
Pour faire d'une collection d'éléments particuliers une totalité, on doit y ajouter (ou bien soustraire ce qui revient ici au même - mettre en position d'exception) un élément paradoxal qui dans sa particularité même incarne l'universalité du genre, tout en fonctionnant comme sa négation…
Lorsque Lacan dit «LA femme n’existe pas», outre la considération logique inscrite dans cette proposition, il s’agit d’entendre que «le mystère ineffable», qui serait exclu de l’ordre symbolique, n’existe pas...
Chez Lacan, la vérité est toujours vérité de la contingence, raison pour laquelle la vérité ne peut que se mi-dire, car elle touche au Réel sans s’y confondre.
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RÉINCARNATION
Un revirement essentiel s'est produit dans le développement de l'âme humaine entre le XVIII et le XXe siècle ; aussi pouvons-nous affirmer que celui qui entreprend l'étude de l'évolution universelle doit avant tout acquérir certaines formes de pensée qui le conduisent tout naturellement aujourd'hui à accepter les notions de réincarnation et de karma et à en admettre la vraisemblance. Il n'en était pas de même entre le XIII et le XVIIIe siècle, la pensée humaine n'étant pas assez avancée pour pouvoir, d'elle-même, acquérir ces notions. À chaque époque donnée, il faut toujours partir du point où la pensée, sous sa forme la plus développée, est parvenue ; le point de départ est donc aujourd'hui celui d'une pensée qui logiquement, c'est-à-dire partant d'une juste hypothèse, peut étudier l'idée des vies répétées d'une manière scientifique. Telle est la marche des temps. - R.Steiner De Jésus au Christ conf. II L'initiation chrétienne des Rose-Croix.
Images : St Jean-Baptiste (Léonard de Vinci), le peintre Raphaël (Agnolo Doni vers 1505-1506) & Novalis (vers 1799. - Johann Franz Peter Paul Gareis)
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Bayrou, ou quand la montagne accouche d’une souris
Bayrou coche toutes cases… pour une fonction qui se définit essentiellement par l’impuissance, le vide, le trou , le milieu, l’inexistence; le Centre n’a pas de réalité, c’est un point chimérique. Une construction intellectuelle.
J’ai toujours soutenu, depuis cette phrase lâchée par Raymond Barre, -pourtant centriste -,que « le Centre n’existe que par ses bords qui le délimitent, le Centre c’est le trou du cul"
(Source : https://brunobertez.com/2024/12/14/bayrou-ou-quand-la-montagne-accouche-dune-souris/
Sages Paroles d'une Centriste (Simone Veil)
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Kotlc actor au, but it’s just Dex being a Quebecer and Stina being French.
——— Oralie: FUCK! Dex: Where? ——— Stina: Oui, je m'entraîne beaucoup pour devenir un bon acteur. Stina, looking Dex dead in the eye:s En particular sir les week-ends. Dex: C’est “la fin des semaines” et tu sais que! Stina: Non, c’est “les week-ends”! Même google translate est d'accord! Dex: Nous savons tous les deux que google translate n’est pas précis! ——— Stina: Look! The ‘umam freak! Sophie, giggling: you man? Stina: Yes? Stina: … Stina: Oh! Shit.. Marella: Don't you mean sit? ——— Dex: Oh look! It’s a.. a.. allez, tu la connais. Sophie: A what? Dex, pointing: Un phoque! Forkle: *Scandalized gasp* ——— Dex: I’ve got my trip! Saying this shouldn’t be so hard! Marella: You have a trip? Dex: Is that not an expression here? ——— Dex: “Les week-ends” est essentiellement de l’anglais! Stina: Je suis presque sûr que le français de la France actuelle est plus officiel que celui d'une ex-colonie! Dex: Ce n'est pas pour rien qu'on l'appelait la Nouvelle-France! Au moins “la fin des semaines” est en fait français! Stina: Français incorrect! ——— Stina: *trying to open a door* Dex: Ca va pas? Stina: Ça va bien, mais je ne peux pas ouvrir cette porte. Dex: Voulez-vous que je le débare pour tu? Stina: Oui, j’aimerais que tu le déverrouille pour moi. Stina: … Dex: … Stina: Tu as tout simplement tort-!
#kotlc#keeper of the lost cities#sophie foster#kotlc incorrect quotes#incorrect kotlc quotes#dex dizznee#kotlc human au#kotlc au#keeper of the lost cities au#stina heks#kotlc actor au#marella redek
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Le régime rend obligatoire le dépistage de la drépanocytose pour les nouveau-nés blancs.
Le régime a décidé de casser le thermomètre du remplacement racial.
Cette décision n’a aucun sens médical puisque les nouveaux-nés européens – les Blancs donc – ne sont pas affectés par cette maladie.
Vidal :
La drépanocytose touche essentiellement les personnes qui ont des origines africaines, antillaises, maghrébines, moyen-orientales ou indiennes. Les personnes issus de certains pays méditerranéens (Grèce, Sicile) sont également concernés par cette maladie, quoique moins fréquemment.
On l’ignore trop, mais la Sicile et la Grèce ont eu le déplaisir de tomber aux mains des violeurs afro-musulmans.
La Sicile a été occupée pendant 250 ans par les racailles avant d’être délivrée par quelques dizaines de Nazis originaires de Normandie dirigés par Roger de Hauteville, un redoutable skinhead d’origine viking.
Si vous connaissez Coutances, les fascistes ont installé une statue à sa gloire sur la cathédrale.
En Grèce, le pays a croulé sous les vendeurs de kebabs pendant 400 ans avant d’être libérée par une coalition de suprémacistes blancs composés de Russes, de Français et d’Anglais.
Hélas, les violeurs d’Anatolie étant ce qu’ils sont, si l’administration turque a déguerpi sans demander son reste, il en va différemment de la génétique qu’elle avait emmené dans ses caravanes.
Pour en revenir à ce dépistage, cela fait des années que le régime tremble devant la légitime utilisation des résultats par les médias qui s’opposent au remplacement de population.
Évidemment, d’après le système, c’était du « délire ».
Cette décision, dix ans plus tard, démontre que ce n’était pas si délirant. Le système préfère dépister inutilement les nouveaux-nés blancs plutôt que de laisser ces chiffres officiels circuler. Après tout, les statistiques ethniques ne sont pas interdites pour rien en France.
Nous n’aurons plus de belles cartes de cette politique effrayante poursuivie en secret par le système.
Nous vous proposons donc les derniers chiffres, ceux de 2022. Le total des nouveau-nés dépistés en France s’élève à 47,2%.
Il était de 45,8% en 2021 :
En 2015, sur la base des chiffres disponibles, l’institut Polémia avait proposé une anticipation. Il prévoyait 46% de naissances non-blanches en 2021 et 50% en 2024.
Nous étions un petit plus conservateurs et proposions plutôt 2027 comme année de bascule théorique, à raison d’une augmentation moyenne de 1% par an.
Certains sceptiques déclarent que dans diverses maternités les dépistages sont systématiques. Cela peut arriver, mais, comme on le constate, cela ne peut expliquer les disparités entre les régions sur une même année. En 2022, la Bretagne affiche par exemple un taux de 14,6% contre 36,2% dans le « Grand Est ».
Cela n’explique pas davantage l’augmentation marginale, mais régulière, de ce dépistage d’une année sur l’autre. Ainsi la Nouvelle Aquitaine passe de 19,5% de nouveaux-nés dépistés en 2021 à 21,4% en 2022.
Enfin, cela n’explique pas davantage l’explosion générale constatée sur les 20 dernières années. La Bretagne est ainsi passée d’un taux de dépistage de 3,47% en 2005 à 14,6% 19 ans plus tard.
Les cas de dépistages systématiques peuvent sporadiquement se retrouver dans les villes où le remplacement racial est si avancé que les maternités s’y embarrassent de moins en moins à distinguer la petite minorité de naissances blanches de l’énorme cohorte marron. Le personnel médical allogène doit d’ailleurs pester en interne contre ce qu’il doit percevoir comme un « privilège » accordé aux gwers maudits.
Peu importe ce point de détail, le tableau général demeure et il est laid, laid comme le faciès d’un groïde fraîchement déféqué par sa négresse de mère.
Sauf bouleversement imprévu, en atténuant les projections de Polémia, on peut estimer, avec une relative assurance, que d’ici à 2030 la moitié de la natalité en France sera non-blanche.
D’ici à 2045, ce sera les deux tiers.
Comme souvent évoqué dans notre média, la disparition progressive des boomers d’ici la décennie 2030-2040 va brutalement assombrir les rues. Les villes françaises de plus de 50,000 habitants seront quasiment toutes à majorité non-blanche.
Nous projetons une France à majorité non-blanche d’ici les années 2050-2060, c’est-à-dire d’ici 30 ans. Mais ce n’est là qu’une projection globale.
Géographiquement ou générationnellement, le basculement aura partiellement lieu avant.
Précisons aussi que si la ventilation des Afro-musulmans est la politique de l’État depuis Manuel Valls, la densité reste un facteur important. Tous les points rouges de cette carte seront des zones à minorité blanche bien avant 2060. Les zones bleues seront relativement moins touchées par le remplacement racial.
Ici, nous défendons le principe du séparatisme ethno-territorial, un véritable blasphème dans un pays façonné par deux siècles d’unitarisme jacobin.
Cette idée, quoique loufoque pour 99% des Français en 2024, deviendra une évidence d’ici 20 ans, au plus tard.
Une part croissante des Blancs ne voudra pas vivre à proximité des quelques 30 millions d’allogènes galvanisés par l’islam et dévorés par la soif de revanche raciale que leur avant-garde exprime déjà partout dans les médias.
Le racket fiscal au profit des masses parasitaires à peau sombre induit par le maintien d’un état unique poussera de plus en plus de Blancs à vouloir mettre un terme à l’expérience, directement ou indirectement.
Notre proposition d’un ou plusieurs états blancs est non seulement souhaitable, inéluctable, mais réalisable. Une comparaison avec l’état israélien en donne une idée.
Si un tel état factice peut exister au milieu d’un océan islamique, il n’y a pas de raison pour qu’un état blanc existe sur le territoire de la France actuelle.
Bien sûr, par principe, il faudrait expulser tous les allogènes, de gré ou de force. C’est d’autant plus souhaitable que c’est d’une grande facilité, mais à une condition : la volonté.
Concentrés dans toutes les villes de France, majoritaires dans un certain nombre de départements, voire de régions, une entreprise de reconqu��te territoriale généralisée nécessiterait en premier lieu une base étatique racialement homogène et racialement et politiquement consciente, instrument d’une force blanche déterminée à reconquérir et nettoyer l’ensemble du territoire français.
Le premier obstacle est la masse de traîtres blancs qui, pour diverses raisons, entend se ménager une cohabitation avec les allogènes. Ils sont l’ennemi prioritaire. Ce n’est pas cette république, fût-elle aux mains d’un parti de droite anti-immigration, qui pourrait le faire. Il est illusoire d’imaginer que l’État français, déjà très affaibli, puisse maintenir son unité politique et administrative sous l’effet du remplacement de population et de l’inévitable résistance autochtone qu’il nourrit par contrecoup avec en plus une bourgeoisie acquise à la capitulation.
La paralysie du système démocratique est déjà manifeste, avec la formation à l’assemblée « nationale » de blocs politiques implicitement raciaux qui n’ont aucune possibilité de compromis, mais mutuellement paralysés grâce au jeu de bascule de la bourgeoisie logée au centre.
Cela implique rien de moins qu’une révolution ethno-séparatiste sur des bases idéologiques nouvelles. Du noyau étatique ainsi formé, se réaffirmerait progressivement l’autorité blanche sur l’ancienne France. Cela prendrait du temps, mais avec une volonté et un programme, les moyens technologiques le permettraient à terme.
Tôt ou tard le point de bascule sera atteint et l’État se désagrégera. Il pourra perdurer fictivement sur une carte, mais dans la réalité il sera éclaté en régions ethniques dominées par une majorité ethno-religieuse.
Comme le Liban.
C’est la recomposition ethnique, territoriale, étatique qui fera suite à la défaillance de l’État français actuel qu’il faut d’ores et déjà anticiper. Dans un pays où l’État a créé la nation ex nihilo, les Français n’en prendront pas l’initiative. Il doit d’abord se décomposer dans les faits. Ce n’est que lorsque l’État ne pourra plus endiguer les assauts organisés des structures ethno-criminelles allogènes que ce scénario se matérialisera.
La disparition des boomers jouera un rôle important dans l’accélération de ce processus démographique et politique.
Nous faisons ici un énoncé. Dans la pratique, ce sera le résultat de chocs violents, d’affrontements ouverts et larvés, de soubresauts. Mais cela aura lieu et mieux vaut en avoir conscience dès à présent.
Démocratie Participative
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Automne 1922 - Louxor (Egypte)
5/10
Je pourrais très bien me laisser tenter par cette vie très différente de la nôtre, plus douce à bien des égards. J'ai tenté il y a peu les bains publics, et j'admet que ces structures (essentiellement réservées aux visiteurs étrangers) me plaisent au plus haut point, bien que je me baigne encore avec des vêtements datant de mon mariage et sentant quelque peu la naphtaline. Il n'y en aura jamais chez nous, la commune étant trop petite. Cela dit, il paraitrait selon Marc-Antoine qu'à Paris, de plus en plus de piscines dédiés à la natation et à la détente voient le jour.
#lebris#lebrisgens4#history challenge#legacy challenge#decades challenge#nohomechallenge#sims 3#ts3#simblr#sims stories#Albertine Maigret#Eugénie Bernard#Marc-Antoine Le Bris
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